France Travail attaquée !

France Travail : la cyberattaque de trop ?

Et si SOCRATE avait été là... ? 


En mai 2024, France Travail (ex-Pôle Emploi) annonçait une cyberattaque d’ampleur historique.

Résultat : les données personnelles de plus de 43 millions de Français compromises. Dont certaines pouvaient remonter à... 20 ans.  

Adresses, numéros de sécurité sociale, identités : tout ou presque était dans les fichiers exfiltrés. 

Alors que les responsables évoquent une « faille dans un service partenaire », le constat est sans appel :

·      Les cyberattaquants ont exploité une faiblesse connue,

·      Sur un périmètre souvent jugé secondaire,

·      Sans déclencher d’alerte en temps réel.



2 ième attaque

 

 

Cette fois-ci, le 12 Juillet 2025, nouvelle attaque. 

Ce sont maintenant les données de 340 000 demandeurs d’emploi qui sont concernées :  

«  noms et prénoms, dates de naissance, identifiants France Travail, adresses mail et postale et numéros de téléphone » . 


« Les données personnelles seraient donc susceptibles d’être divulguées et exploitées de manière illégale », précise l’organisme. 


« Les données bancaires ne sont, elles, pas concernées », ajoute France Travail, qui déclare avoir signalé cette violation à la Commission nationale de l’informatique et des libertés et avoir porté plainte.

Ce que révèle ces attaques 

 

Ces attaques ne sont pas des cas isolés. 

Elles révèlent trois failles structurelles que l’on retrouve dans de nombreuses organisations, publiques comme privées :

 

1.⁠ ⁠Temps de réaction trop long :

Entre la découverte d’une faille et son correctif, il s’écoule souvent plusieurs semaines. Un délai que les hackers savent parfaitement exploiter.

 

2.⁠ ⁠Failles « connues » mais non corrigées :

Une faille déjà identifiée et documentée (CVE) peut rester exploitable tant qu’un patch n’est pas validé, testé et déployé sur tous les systèmes. Ce fut le cas ici.

 

3.⁠ ⁠SOC « passifs » :

 La plupart des centres de sécurité (SOC) se contentent d’observer, de détecter, d’alerter. 

Trop tard. Ils ne protègent pas en temps réel l’actif attaqué.


Et si SOCRATE® avait été en place ?


La technologie SOCRATE®, développée par EINT, a été conçue précisément pour répondre à ce type de scénario. 

Voici comment elle aurait pu changer la donne :


1. Protection dynamique temps réel avec DataProtect®

Dès qu’une faille est identifiée, même avant qu’un patch ne soit disponible ou testé, SOCRATE® encapsule l’actif vulnérable. 

Concrètement : les données ne sont plus accessibles depuis l’extérieur, le serveur se met en « mode bunker », mais reste disponible sur le réseau.

Cela empêche l’exfiltration de données pendant le délai de déploiement du correctif.

Aucun autre SOC sur le marché ne propose, à ce jour, cette encapsulation active.


2. SOC polymorphique, furtif et autonome


Contrairement aux SOC traditionnels :

•⁠  ⁠ SOCRATE® change de forme et de localisation pour éviter d’être ciblé à son tour.

•⁠  ⁠Il s’adapte en temps réel au contexte de l’attaque : gravité, périmètre, type d’actif.

•⁠  ⁠Il agit automatiquement, sans attendre l’intervention humaine.

 

👉 En cas d’attaque comme celle de France Travail, le SOC aurait isolé les serveurs concernés, protégé les données, et déclenché, sans immobiliser toute l’infrastructure, une réponse immédiate.


3. Analyse multi-sources et IA


Les SOC traditionnels s’appuient sur des flux de logs et une IA souvent limitée à de la corrélation.

SOCRATE®, quant à lui :

•⁠  ⁠agit comme un cerveau central : il croise les vulnérabilités, les accès, les flux, les tentatives…

•⁠  ⁠détecte les signaux faibles avant qu’ils ne deviennent une attaque.

•⁠  ⁠priorise automatiquement les actions à mener, même à 3h du matin.

⁠Pas d’alerte dans le vide. Pas d’intervention humaine obligatoire.

Un vrai bouclier actif.


Ce que cette attaque nous enseigne


•⁠  ⁠Aucun organisme, même privé, n’est à l’abri.

•⁠  ⁠L’enjeu n’est plus seulement de détecter, mais de protéger activement les données dès les premiers signaux d’attaque.

•⁠  ⁠L’approche SOC doit changer : du passif au proactif, du visible au furtif, du standard au polymorphique.


Qu’aurait fait SOCRATE® dans le cas France Travail ?

➡️ Les données attaquées auraient pu être encapsulées.

➡️ Le serveur mis en quarantaine.

➡️ L’impact réduit à zéro.

 

SOCRATE® : parce que la prochaine attaque ne préviendra pas.

SOCRATE®, le SOC qui ne dort jamais.

 

Développé en France. Conçu pour l’action.

📩 Contactez-nous pour un POC dès aujourd’hui.






Se connecter pour laisser un commentaire.
Bouygues Télécom victime d’une cyberattaque ! 6,4 millions de clients concernés.